Une trilogie excitante et très bien réalisée.
Vous verrez dans mes propos qui suivent que je suis un fan des séries japonaises, mais je connais moins tout ce qui est sorti sur Godzilla.
Je sais que c’est un monstre légendaire depuis sa sortie en 1954 sur grand écran.
Il est devenu un monstre sacré du cinéma et du petit écran.
Sa statue trône dans Tokyo et on le vénère dans le monde entier comme un sauveur de l’humanité.
Mais là on a une version différente du roi des monstres.
Il est grand et très fort. L’humanité le découvre avec horreur car il détruit tout sur son passage.
Rien ne lui résiste, pas même les nombreuses bombes nucléaires qu’il se coltine avec délectation.
Pour ceux qui le savent déjà, il est doté de grands pouvoirs comme la régénération, des rayons destructeurs et des protections formant un bouclier d’énergie hautement résistant.
Ce monstre est quasiment indestructible, l’humanité est obligé de se battre ou de fuir la planète Terre.
Ceux qui sont partis se retrouvent à errer dans l’espace pour trouver une nouvelle planète.
Là vous découvrirez la suite de l’histoire dans ce premier film et dans les deux autres qui suivent.
J’ai l’impression que cet animé m’a conquis. La réalisation et le scénario sont rondement bien menés avec des dessins stupéfiants.
J’adore la qualité graphique, la fluidité de l’animation et les couleurs proposées.
Tout met en valeur les personnages et le scénario. Godzilla y est impressionnant, effrayant voir terrifiant.
Les monstres sont beaux et ultra puissants. La vénération ou la peur ne peuvent qu’interagir ou se confronter pour prendre une position bien tranchée : Haïr ou Adorer ce monstre déifié.
J’adore la tournure de scénaristique de ces trois films. Ils valent vraiment le coup d’oeil. La TOHO peut être fière de cette oeuvre animée qui rentre dans les classiques de la japanimation.
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