Pour les enfants des années 80, c’était un incontournable des animations japonaises.
Candy Candy est la série qui plu aussi bien aux grands qu’aux petits.
Je suis prêt à parier que maintenant cet animé passe les générations sans problème.
Il est bien dessiné, bien animé et vieilli très bien.
L’histoire est très bien abordée, même les retouches françaises restent compréhensibles.
Candy candy est créé en 1975 par Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki alias Keiko Nagita.
La première a déssinée Candy Candy et Georgie, la seconde est scénariste sur pas mal d’oeuvres dont des manga peut-être inconnu en France.
Candice White Ardley, surnommée simplement Candy, est une jeun fille enjouée malgré son malheur. Elle est orpheline et vit dans un pensionnat tenu par une Mademoiselle Pony, une vieille femme assistée d’une nonne nommée Soeur Maria.
toutes les deux ont beaucoup d’enfants sous leur coupe. Il faut beaucoup de courage et de patience pour éduquer Candy. Cette fille est espiègle et touchante. Elle est pleine de vie et avec beaucoup de coeur.
Elle aime les autres, elle aime faire du bien autour d’elle et ce malgré la vie qui ne sera pas tendre avec elle.
Tout au long de son parcours vous verrez une fille américaine se faire adopter par une famille riche et encore très proche de la noblesse anglaise et de leur coutume.
L’Amérique du début du vingtième siècle va entrer dans la première guerre mondiale et les idées politiques vont bon train pour se porter volontaire et aider les alliés contre les envahisseurs.
Candy va naviguer entre le monde des enfants et petit à petit vers celui des adultes qui devront travailler et s’investir pour des causes.
Bien entendu dans sa nouvelle famille, il y aura des personnes qui ne l’apprécient pas. Elle souffrira de la honte, du fait d’être constamment rabaissé par le poids des attaques de ses cousins adoptifs.
D’autres viendront contrebalancer ces mauvais moments en proposant des parenthèses intéressantes entre la science et la vie sociale.
Les mondanités ne sera pas vraiment son « truc », mais cela ne l’empêchera pas de connaître des amours théâtrales, dramatiques et tendrement romantiques.
Cet animé a marqué les personnes qui l’ont vu car l’histoire est complète et très bien écrite.
Nous avons au fil des épisodes une continuité sur la vie de Candy qui grandit sous nos yeux. Cela se fini quelques temps après la première guerre mondiale. Vous verrez un peu la vie de l’époque aux USA qui avait encore un Far West très dangereux, des états de l’Est très avancé et proche de l’Europe.
La patte graphique est excellente, le scénario captivant et cela aide à donner de l’empathie pour ce personnage haut en couleur qui se bat dans un monde difficile et en pleine mutation.
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